The China Mail - 5G: l'agence sanitaire confirme ne pas envisager de "risques nouveaux"

USD -
AED 3.672504
AFN 67.304298
ALL 82.461162
AMD 382.850403
ANG 1.790403
AOA 917.000367
ARS 1474.737504
AUD 1.516622
AWG 1.40625
AZN 1.70397
BAM 1.663513
BBD 2.014791
BDT 121.739722
BGN 1.664485
BHD 0.377127
BIF 2985.612888
BMD 1
BND 1.284676
BOB 6.912419
BRL 5.323904
BSD 1.000336
BTN 88.08247
BWP 13.325622
BYN 3.387244
BYR 19600
BZD 2.011891
CAD 1.377395
CDF 2824.000362
CHF 0.795355
CLF 0.024358
CLP 955.540396
CNY 7.113404
CNH 7.118805
COP 3883.32
CRC 504.63339
CUC 1
CUP 26.5
CVE 93.786281
CZK 20.67995
DJF 177.720393
DKK 6.353435
DOP 62.022361
DZD 129.552561
EGP 48.175604
ERN 15
ETB 143.575371
EUR 0.851204
FJD 2.251304
FKP 0.738185
GBP 0.74222
GEL 2.703861
GGP 0.738185
GHS 12.275136
GIP 0.738185
GMD 74.000355
GNF 8677.346783
GTQ 7.662636
GYD 209.286304
HKD 7.775255
HNL 26.218312
HRK 6.411604
HTG 130.891678
HUF 332.33304
IDR 16651.85
ILS 3.336205
IMP 0.738185
INR 88.09695
IQD 1310.532829
IRR 42062.503816
ISK 121.730386
JEP 0.738185
JMD 160.41439
JOD 0.70904
JPY 147.93604
KES 129.190385
KGS 87.450384
KHR 4020.566384
KMF 418.00035
KPW 900.014062
KRW 1396.820383
KWD 0.30539
KYD 0.833627
KZT 541.530401
LAK 21658.402157
LBP 89580.678909
LKR 302.48234
LRD 178.565201
LSL 17.355459
LTL 2.95274
LVL 0.60489
LYD 5.395061
MAD 9.023947
MDL 16.596
MGA 4422.859379
MKD 52.334557
MMK 2099.369864
MNT 3597.280569
MOP 8.01201
MRU 40.014289
MUR 45.350378
MVR 15.303739
MWK 1734.611426
MXN 18.393905
MYR 4.207039
MZN 63.903729
NAD 17.355459
NGN 1494.680377
NIO 36.811955
NOK 9.94125
NPR 140.931611
NZD 1.70749
OMR 0.384509
PAB 1.000332
PEN 3.484718
PGK 4.181321
PHP 57.033504
PKR 283.873421
PLN 3.629705
PYG 7123.385543
QAR 3.637222
RON 4.319704
RSD 99.733038
RUB 83.50396
RWF 1450.023603
SAR 3.750521
SBD 8.196859
SCR 14.33986
SDG 601.503676
SEK 9.415445
SGD 1.284495
SHP 0.785843
SLE 23.303667
SLL 20969.503664
SOS 571.657006
SRD 38.096504
STD 20697.981008
STN 20.838561
SVC 8.753046
SYP 13002.211716
SZL 17.357245
THB 31.819504
TJS 9.363193
TMT 3.5
TND 2.910424
TOP 2.342104
TRY 41.383404
TTD 6.770406
TWD 30.229504
TZS 2475.000335
UAH 41.326098
UGX 3503.429857
UYU 39.959003
UZS 12318.566307
VES 163.442845
VND 26382.5
VUV 118.870675
WST 2.668824
XAF 557.926521
XAG 0.023306
XAU 0.000272
XCD 2.70255
XCG 1.802833
XDR 0.693398
XOF 557.926521
XPF 101.43701
YER 239.450363
ZAR 17.328604
ZMK 9001.203584
ZMW 23.652942
ZWL 321.999592
  • AEX

    -3.3600

    929.94

    -0.36%

  • BEL20

    10.8100

    4709.11

    +0.23%

  • PX1

    -0.7900

    7853.59

    -0.01%

  • ISEQ

    -35.8800

    11176.65

    -0.32%

  • OSEBX

    -5.6100

    1645.65

    -0.34%

  • PSI20

    -21.6300

    7704.09

    -0.28%

  • ENTEC

    -5.8300

    1416.23

    -0.41%

  • BIOTK

    33.2300

    3494.96

    +0.96%

  • N150

    -13.5900

    3659.77

    -0.37%

5G: l'agence sanitaire confirme ne pas envisager de "risques nouveaux"
5G: l'agence sanitaire confirme ne pas envisager de "risques nouveaux"

5G: l'agence sanitaire confirme ne pas envisager de "risques nouveaux"

Il est "peu probable", en l'état des connaissances actuelles, que la téléphonie 5G présente des "risques nouveaux" pour la santé, a confirmé mardi l'Agence nationale de sécurité sanitaire en actualisant un avis de 2021, une décision vivement regrettée par plusieurs associations.

Taille du texte:

L'Anses avait rendu en avril 2021 cet avis très attendu mais dont le calendrier même faisait polémique, puisqu'il avait été publié quelques mois après le début du déploiement de cette cinquième génération de la téléphonie mobile. Le débat avait été enflammé, le président Emmanuel Macron estimant par exemple que les tenants d'un moratoire voulaient un "retour à la lampe à huile".

L'agence avait alors estimé, que "sur la base des données scientifiques disponibles à ce jour", il était "peu probable que le déploiement de la 5G (dans les bandes de fréquences déjà déployées en France) présente de nouveaux risques pour la santé", tout en reconnaissant le manque d'études sur certaines fréquences.

Elle avait toutefois ouvert plusieurs semaines de "consultation publique" sur son avis, indiquant qu'elle pourrait éventuellement le compléter.

Plus de 200 contributions - particuliers, associations ou industriels - ont été recueillies et l'Anses a également épluché de premières mesures d'exposition "au voisinage des antennes relais 5G" réalisées par l'Agence nationale des fréquences (ANFR).

L'actualisation de son avis conclut que ces nouveaux éléments "confortent les conclusions initiales". A savoir que pour les fréquences déjà déployées, très proches de celles utilisées pour les précédentes générations, "les niveaux globaux d'exposition aux champs électromagnétiques seront comparables ou légèrement supérieurs à ceux des technologies existantes" et qu'il est donc "peu probable que ce déploiement entraîne de nouveaux risques pour la santé".

Pour la bande de fréquences 26 GHz, pas encore exploitée en France, l'Anses relève comme dans son avis initial que "les données sont à l'heure actuelle trop peu nombreuses pour conclure à l'existence ou non d'effets sanitaires".

Pour l'agence sanitaire, il s'agissait aussi "de qualifier les incertitudes" restantes, notamment sur les "effets intrinsèques sur la santé" et les niveaux d'exposition, souligne Olivier Merckel, chef de l'unité d'évaluation des risques liés aux agents physiques à l'Anses.

Elle recommande donc de poursuivre les études, notamment de surveillance des expositions, et d'adopter des "usages raisonnés" de la 5G, notamment pour les enfants ou en utilisant des kits à oreillette, par exemple.

Les ONG Agir pour l'environnement et Priartem (association contre les risques liés aux technologies électro-magnétiques), qui avaient sans succès contesté en justice le déploiement de la 5G, ont regretté un processus ayant "permis au gouvernement d'imposer la 5G", avec plus de 50.000 antennes déjà déployées, et dénoncé une "instrumentalisation politique de l'Anses".

Soulignant que l'Anses constate à nouveau "le manque de données sur les nouvelles fréquences et sa difficulté à évaluer les risques", elles dénoncent le fait que les pouvoirs publics aient pris "la responsabilité d'exposer la population à de nouvelles fréquences non étudiées".

L'agence avait elle même souhaité lors de la publication de son avis en avril 2021 qu'à l'avenir les expertises soient réalisées "préalablement (au) déploiement" de technologies nouvelles.

Olivier Merckel reconnaît d'ailleurs un "problème récurrent" avec le déploiement de nouvelles technologies, qui peut créer rapidement de nouveaux usages, alors "que le temps de la recherche et de l'expertise est long par nature".

D'autres ONG, "Alerte Phonegate" et "Robin des toits" notamment, ont dénoncé une "parodie de concertation", affirmant "qu'aucun de [leurs] apports n'[avait] été pris en compte".

I.Ko--ThChM